Marie-Rose GUILMAIN

Publié le par Amis de l'Athlétisme de la Vienne

De nombreuses personnes sur les stades viennent de  m'interpeller pour me parler de Marie-Rose. Comme Marie JARRY l'an dernier c'est une "petite main" de l'athlétisme qui disparaît. Je laisse la plume à Alain RUDELLE pour un dernier hommage. MA

 

Marie-Rose Guilmain

 

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L'athlétisme est une grande famille, et notre association des "Amis de l'Athlétisme" en est une partie bien vivante. Créée pour la promotion de notre sport, aider les bénévoles qui œuvrent dans les clubs et récompenser tous les ans, lors de notre soirée festive, les athlètes les plus méritants de chaque spécialité, elle est également faite pour entretenir le souvenir des moments forts qui ont pu exister dans notre département.

 

C'est pourquoi aujourd'hui je voudrais rendre un hommage à une personne qui vient de nous quitter et qui avait donné de son temps sans compter sur les stades. En effet nous venons d'apprendre le décès de Marie-Rose Guilmain et pour les anciens c'est une figure emblématique de notre sport qui vient de disparaître. Certes, pour les jeunes, c'est surtout son fils François qui est connu pour son activité inlassable pour former des athlètes, et pour les plus anciens, son mari Jacques, animateur infatigable du C.S.A.Châtellerault de la grande époque : accompagnateur, officiel polyvalent, et même un temps Président du Comité de la Vienne d'Athlétisme. Mais à ses côtés, toujours, on pouvait voir son épouse, qui le secondait efficacement, et dont la présence sur les stades était constante dans toutes les manifestations. Je me souviens de son activité débordante, de sa bonne humeur et de l'entrain qu'elle mettait à accomplir souvent des tâches ingrates, comme tenir la buvette par exemple... Lorsque ma carrière d'athlète terminée je me suis quelque peu investi également, j'ai le souvenir de ce « duo de choc » qui mettait par exemple un entrain tout particulier à la préparation efficace de la table des récompenses de notre soirée annuelle : ils n'étaient pas toujours d'accord (!), mais quel enthousiasme...

 

Oui, Marie-Rose, nous ne t'oublierons jamais et ton souvenir sera toujours avec nous.

 

Alain Rudelle

 

 

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